horreurs de la guerre
Fr. Crépin dans une lettre au P. Dehon :
"Très Révérend Père… Nous ne trouvons ici aucune tranchée, mais seulement des trous d'obus pleins d'eau, dans un bois célèbre, dont il ne reste plus que quelques misérables souches que les obus n'ont pas voulu déterrer. Autour de nous rien que dévastation: je ne puis découvrir deux mètres de terrain qui n'aient été bouleversés ; cadavres déjà anciens que je me fais un devoir d'enterrer enfin. » (18.1.1918)
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